Le CRI des Travailleurs
n°34
(novembre-décembre 2008)

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Brève ou communiqué du 3 janvier 2009

Déclaration d’urgence de la FT-QI :
À bas le massacre sioniste contre Gaza !
Vive la résistance du peuple palestinien !
Pour la défaite de l’État raciste d’Israël !

En renvoyant dos à dos les oppresseurs et les opprimés, les pays impérialistes et l’ONU soutiennent en réalité le massacre perpétré par l’Etat sioniste

Dans la nuit du 27 au 28 décembre, l’aviation sioniste israélienne a déclenché l’opération « plomb durci », l’une des plus meurtrières depuis 1967. Les attaques aériennes sur Gaza et Rafah ont déjà fait plus de 400 morts et 2000 blessés. Le gouvernement israélien prépare actuellement une opération terrestre : il vient de rappeler des milliers de réservistes. Ce carnage, présenté comme une riposte aux tirs de roquettes du Hamas, n’est pas seulement un acte de surenchère dans la campagne électorale en cours en Israël, mais un plan prévu de longue date pour briser définitivement la résistance du peuple palestinien, mis en pratique avec le feu vert de la prétendue « communauté internationale », l’ONU, les pays impérialistes, ainsi que l’Arabie Saoudite, le Qatar, le Yémen et le Koweït qui ont amorcé une « normalisation » de leurs relations avec l’occupant sioniste, malgré leurs protestations formelles après le début de l’attaque des forces armées israëliennes.

Gaza, un véritable ghetto

Depuis des années, Gaza survit dans comme un véritable ghetto. Un impitoyable blocus économique, politique et culturel l’isole du monde. Un million et demi d’habitants sont prisonniers de l’armée israélienne et privés de tout : de nourriture, de carburant, d’électricité, de médicaments, de matériel scolaire… La population sous le joug de l’oppression coloniale barbare depuis soixante ans subit une « punition » collective impitoyable pour avoir « mal » voté et avoir porté son choix démocratique vers le Hamas. Portée à un tel niveau, cette oppression sonne l’heure de la destruction totale de la Palestine et plus particulièrement de Gaza. C’est une mort lente que subissent les Palestiniens dans la bande de Gaza. Environ 80 % de la population vivent sous le seuil de pauvreté et le taux de chômage atteint 65 %. Le revenu par personne est de 443 euros par an, soit 1,36 euro par jour. 60 % des enfants souffrent de malnutrition. La liberté de circulation entre la bande de Gaza et la Cisjordanie, Jérusalem et le monde extérieur est bloquée. Environ 260 personnes sont mortes l’an passé soit parce qu’elles ont été empêchées d’aller se faire soigner à l’étranger, soit par manque de médicaments. La seule usine de fabrication de médicaments est arrêtée en raison de la pénurie de matières premières. Plus de 1 500 cargaisons et containers de matières premières sont détenus dans les ports israéliens. Les projets de construction et de développement des hôpitaux, des cliniques et d’établissements éducatifs sont suspendus. Les coupures de courant sont toujours quotidiennes.

Or cette barbarie odieuse n’a pu être perpétrée que grâce à l’impunité totale assurée à cet État colonial sioniste et même au soutien actif dont il a bénéficié au sein de l’Union Européenne. Nicolas Sarkozy, président français et actuel président de l’UE, a imposé le « rehaussement de la coopération avec l’UE » le 8 décembre dernier. Il a ainsi été décidé de revaloriser les relations politiques entre l’UE et Israël, permettant une plus large participation de l’État sioniste aux programmes communautaires européens. En octroyant un tel avantage à un État qui mène une politique expansionniste en colonisant de nouveaux territoires palestiniens, qui pille, qui assassine, qui ghettoïse, Sarkozy a donné un chèque en blanc aux faucons et porte une lourde responsabilité dans ce nouveau crime de guerre sioniste.

L’assassinat collectif perpétré, toutes ces belles âmes, telles des pleureuses compatissantes, font mine de se presser au chevet de Gaza. Mahmoud Abbas a dénoncé l’offensive israélienne ; c’est pourtant l’un des premiers responsables de la situation que vivent les Palestiniens tant sont grandes sa collaboration avec les sionistes et son allégeance aux plans impérialistes. Israël ne s’appuie pas seulement sur son armée mais aussi sur la couardise et la duplicité des gouvernements arabes qui, tout en prenant position contre les attaques à Gaza, acusse le Hamas d’être responsable du conflit. C’est le cas du ministre des Affaires Étrangères saoudien, le prince Saoud-al-Fayçal, qui a critiqué les Palestiniens en leur reprochant de ne pas s’unir derrière leur président, Mahmoud Abbas. Ce dernier a été l’un des instrument des Etats-Unis et d’Israël pour miner le Hamas depuis que l’organisation islamique a gagné les élections en 2006. C’est pourquoi l’appel saoudien à l’unité est une tentative pour isoler un peu plus le Hamas, dans la droite ligne des efforts du régime égyptien qui a collaboré en fermant ses propres frontières avec Gaza, ce qui a renforcé le blocus économique organisé par Israël. Le secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon, s’est dit « profondément inquiet » et a appelé à un « arrêt immédiat des violences » : rejetant dos à dos l’oppresseur et l’opprimé, l’ONU se montre une fois de plus le féal, l’instrument des impérialismes et colonialismes de toutes sortes. Les États-Unis ont quant à eux prié Israël de faire en sorte que les raids ne fassent pas de victimes civiles… tout en avertissant le Hamas qu’il devait cesser ses attaques à la roquette « pour que la violence cesse ». Sarkozy s’est dit inquiet et son ministre des Affaires Étrangères, Kouchner, a repris mot pour mot la déclaration états-unienne.

La stratégie d’Israël et les difficultés pour atteindre ses objectifs réactionnaires

L’État sioniste utilise ce conflit pour réhabiliter sa capacité de dissuasion militaire au Moyen-Orient, qui a été fortement écornée par son échec lors de la guerre du Liban en 2006. Son objectif est de démontrer que le Hamas s’expose à une vengeance implacable s’il continue à lancer des roquettes. La dévastation de Gaza est aussi un message à la milice chiite Hezbollah et à l’Iran. Le gouvernement de coalition Kadima/Parti Travailliste, en pleine course électorale “interne” et externe par rapport au Likoud en vue des élections de février, essaie de tirer profit de l’actuelle « transition » étasunienne pour forcer la main de son principal allié et pouvoir agir dans la plus parfaite impunité ; par cette offensive il veut donner une leçon au peuple palestinien et à tous les pays de la région, tant les plus philo-israéliens que ceux qui maintiennent une ligne dure par rapport à Tel Aviv.

Mais malgré le caractère massif de l’offensive pendant ses cinq premiers jours, la stratégie israëlienne commence à manifester des symptômes de complications. Les tirs de roquettes de la part du Hamas se sont poursuivis. Si l’attaque aérienne n’atteint pas ses objectifs, Israël pourrait se retrouver obligée de lancer une offensive terrestre, laquelle pourrait être extrêmement coûteuse en nombre de morts pour ses troupes. En effet, une guerre d’usure dans une ville densément peuplée comme la bande de Gaza favorise les forces d’une armée non régulière et nombreuse comme celle du Hamas et défavorise la force israëlienne hautement dépendante de la technologie mais totalement limitée dans l’usage des ressources humaines. C’est ce qu’a déjà montré la retraite israëlienne du Liban et c’est ce qui a été à la base des doutes et des hésitations du premier ministre israëlien, Ehud Olmert, lors de la récente campagne militaire dans ce pays, qui l’ont conduit à la première retraite militaire de l’histoire d’Israël, en 2006. Dans ce contexte, malgré le climat politique israëlien et malgré une opinion publique israëlienne largement droitisée, les issues stratégiques pour l’État sioniste, une fois l’escalade militaire engagée et face au rétablissement de la résistance palestinienne après l’effet de suprise initiale, ne sont pas simples. La décision du cabinet la semaine dernière permet la réoccupation de Gaza et sa remise à l’Autorité Nationale Palestinienne de Abbas, soit directement, soit par l’intermédiaire d’une force internationale ou pan-arabe pour continuer le frauduleux processus de paix d’Annapolis. Cette issue a été suggérée par le candidat du Likoud, Benjamin Netanyahu, qui parle d’ “éliminer le régime du Hamas pour le long terme”. Mais une tentative similaire a échoué au Liban en 1982, quand Israël a voulu imposer ses serviteurs locaux. De son côté, Abbas, malgré son rôle traître face à Israël, hésiterait à revenir à Gaza dans un char israëlien et, même s’il le faisait, il aurait d’énormes difficultés à y gouverner. Une autre alternative envisagée est celle que défendrait l’homme fort du moment, le ministre de la Défense, Ehud Barak, qui chercherait un nouveau cessez-le-feu après avoir donné une leçon au Hamas. Mais cette option, de même que cela s’était produit avec le Hezbollah au Liban, donnerait de la légitimité au Hamas qui continuerait à gouverner Gaza. Une troisième variante consisterait à mener jusqu’à son terme le plan de désengagement de l’ex-premier Ministre Sharon, en renonçant à toute responsabilité pour la bande de Gaza et en cherchant à ce qu’elle obtienne ses ressources et ses fournitures par l’intermédiaire de l’Egypte. Les secteurs qui, comme l’actuelle ministre des Affaires Etrangères, Tzipi Livni, accordent une grande importance à l’appui internationale à Israël, favoriserait cette option, car ils sont convaincus que Gaza est plus une charge pesante pour la survie de l’Etat sioniste qu’un actif. Mais cette option pourrait être une “patate chaude” pour le Caire, car elle compliquerait fortement les relations avec Israël dans une période particulièrement sensible, celle des jours de décadence du régime de Hosni Mubarak, déjà atteint par la crise économique, la résistance ouvrière des années passées et l’opposition islamique. Comme on le voit, malgré les durs coups portés initialement, il n’est pas facile pour Israël de trouver une issue stratégique pour le problème de sa frontière sud, tâche que l’actuel gouvernement sioniste, dans un contexte de divisions entre dirigieants sionistes, d’approche des élections et du changement de gouvernement à Washington, ne pourra pas résoudre et laissera comme un héritage pesant au nouveau gouvernement issu des élections.

L’État sioniste est raciste et colonialiste

C’est un fait historiquement irréfutable, l’État d’Israël, parce que sioniste, est fondé sur le racisme et le colonialisme. C’est vers 1885 que Herzl envisagea de « coloniser la Palestine » et de créer un « foyer national juif ». Il décréta que « le peuple d’Israël, en tant que peuple supérieur et continuateur moderne du Peuple élu, [devait] aussi devenir un ordre réel » et, pour ce faire, « rendre des services à l’État impérialiste qui protégera son existence ». Le racisme et le colonialisme israéliens sont les fondements d’un État qui se définit non par référence à une nation, mais à une religion et à une ethnie. Un État qui affirme le droit de « son » peuple par l’appropriation exclusive d’une terre pourtant déjà habitée et exploitée par d’autres populations. Les textes fondateurs du sionisme éclairent la politique actuelle. Lorsque Herzl s’adresse en 1897 au gouvernement français, dans l’espoir d’obtenir son appui pour la fondation d’Israël, il écrit : « Le pays que nous nous proposons d’occuper inclura la Basse-Egypte, le sud de la Syrie et la partie méridionale du Liban. Cette position nous rendra maîtres du commerce de l’Inde, de l’Arabie et de l’Afrique de l’Est et du Sud. La France ne peut avoir d’autre désir que de voir la route des Indes et de la Chine occupée par un peuple prêt à la suivre jusqu’à la mort. » Les accords Sykes-Picot feront les mêmes promesses mais à la Grande-Bretagne. Le processus était lancé. Les puissances impérialistes allaient utiliser la monstrueuse politique de l’holocauste comme alibi pour le parachever.

Israël est ainsi au Moyen-Orient ce que l’Afrique du Sud de l’apartheid fut à l’Afrique australe : une colonie imposant aux populations autochtones une domination à caractère raciste, et dont l’existence serait impossible sans l’aide matérielle des puissances impérialistes « en échange de services rendus », en l’occurrence les États-Unis et les États de l’Union Européenne.

Quand un gouvernement juge que la vie d’un soldat juif est plus importante que celle de centaines d’enfants et de civils palestiniens, alors l’État que représente ce gouvernement est un État raciste ; quand des forces armées, dans les territoires qu’elles occupent illégitimement, interdisent aux civils de se déplacer, d’aller chercher de l’eau aux puits et aux sources, de labourer leurs champs, de visiter leur famille, de se rendre à l’école ou à leur travail, de circuler d’un village à l’autre, d’amener un enfant malade chez le médecin… alors l’État que représente ce gouvernement est un État raciste et colonialiste. Quand ce gouvernement sioniste construit le mur de la honte pour la ghettoïsation du peuple palestinien, rase maisons et oliveraies, chasse, expulse, emprisonne, torture, affame… alors ce gouvernement et son armée sont ceux d’un État raciste et colonialiste.

Tzipi Livni, la ministre des affaires étrangères de l’entité coloniale sioniste, présente clairement sa vision « future » de l’État juif : un État purement juif, sans Palestiniens, ce qui signifie en termes concrets et bruts : expulser les Palestiniens de leurs terres et de leurs propriétés, vers la Cisjordanie et la bande de Gaza, ou ailleurs. Ce n’est pas la première fois que Livni fait de telles prophéties et ce n’est pas la première responsable politique sioniste à le faire (Golda Meir avait fait de même). Ce qui est nouveau, c’est que ces annonces se répètent régulièrement. Par leur répétition même, elles veulent paraître normales et logiques (État juif et démocratique = expulsion des Palestiniens = nettoyage ethnique) et passer le message à tous ceux qui n’ont pas encore compris le rêve sioniste. Les dirigeants sionistes ne parlent pas de « nettoyage ethnique » mais le pratiquent sur le terrain.

Dès lors, la perspective d’une solution à deux États devient de plus en plus insoutenable à cause de la colonisation sioniste et du soutien que lui accordent tous les impérialismes. L’État israélien n’acceptera jamais d’abandonner ses visées sionistes et expansionnistes et ne permettra jamais la création d’un État palestinien viable sur l’intégralité des territoires occupés avec Jérusalem comme capitale, la libération de tous les prisonniers politiques et le retour de tous les réfugiés. Il n’y aura jamais de paix tant que l’État israélien, théocratique, colonialiste, raciste, pratiquant l’apartheid et le nettoyage ethnique, n’aura pas disparu.

Vive la résistance des Palestiniens ! Front unique des organisations ouvrières et anti-impérialistes pour la soutenir, combattre le sionisme et l’impérialisme oppresseurs !

Nous, révolutionnaires, soutenons incondtionnellement les forces de résistances palestiniennes contre l’agression sioniste, d’un point de vue militaire nous nous plaçons dans son camp contre l’armée israëlienne et nous luttons pour la défaite de l’État d’Israël dans la guerre en cours à Gaza. C’est à partir de cette position de principe pour tous ceux qui se revendiquent de l’anticolonialisme et de l’anti-impérialisme conséquent que nous disons que la politique du Hamas, malgré sa résistance armée face à l’État d’Israël, conduit la lutte de libération nationale à une impasse en combattant pour un État théocratique, ce qui empêche de gagner une grande partie des masses palestiniennes, en particulier les éléments laïcs, chrétiens et musulmans non fondamentalistes. En même temps, le Hamas défend la négocation avec la bourgeoisie locale et les États arabes réactionnaires de la région, aussi bien avec les actuels opposants à Washington comme la Syrie ou l’Iran qu’avec les plus pro-américains comme l’Arabie Saoudite et l’Egypte. Le Hamas n’a pas confiance dans la mobilisation indépendante de la classe ouvrière arabe, comme l’aurait une direction révolutionnaire, la seule qui puisse par son action vaincre l’État d’Israël. Ce n’est qu’en s’organisant de manière indépendante de toutes les forces bourgeoises et petites-bourgeoises incapables de mener un combat victorieux contre le projet sioniste, par peur de déchaîner des forces qu’elles ne sauraient contrôler, que la classe ouvrière palestinienne pourra être le moteur d’une lutte nationale victorieuse et, au-delà, d’une lutte révolutionnaire pour la satisfaction de ses revendications sociales. Mais cette lutte ne peut se mener qu’en liaison avec les classes ouvrières des autres pays de la région, en particulier la classe ouvrière égyptienne qui a lutté ces dernières années contre le régime autocratique de Moubarak et y compris dans l’État d’Israël, où les travailleurs juifs exploités doivent d’abord et avant tout rompre avec le sionisme. C’est ainsi qu’il sera possible de construire un État palestinien laïc, démocratique et non raciste, ce qui n’est possible qu’avec une Palestine ouvrière et socialiste, où puissent vivre en paix Arabes et Juifs sur tout le territoire de la Palestine historique (qui inclut aussi bien le territoire occupé par l’État d’Israël que Gaza et la Cisjordanie), dans la perspective d’une Fédération des Républiques Socialistes du Moyen-Orient.

Les travailleurs et les opprimés du monde entier doivent soutenir inconditionnellement la résistance des Palestiniens, leur combat légitime pour leurs droits nationaux, contre la colonisation sioniste de leurs terres, pour le droit au retour de tous ceux qui ont été expulsés depuis 1948, pour le droit de choisir librement leurs représentants, pour exiger l’arrêt des bombardements et de toutes les exactions de l’État d’Israël, la levée immédiate et inconditionnelle de l’embargo qui assassine le peuple palestinien et l’ouverture immédiate de la frontière entre l’Égypte et la bande de Gaza.

La lutte contre l’impérialisme et son bras armé israélien est un devoir impérieux pour l’ensemble des organisations qui se réclament du mouvement ouvrier et du combat anti-impérialiste : leur responsabilité est d’organiser immédiatement une levée en masse des travailleurs et des jeunes dans les différents pays pour exiger l’arrêt des bombardements et de toutes les exactions de l’État israélien. Pour les révolutionnaires des pays impérialistes où la FT intervient, cette solidarité anti-impérialiste est aussi un combat contre Sarkozy, Zapatero, Merkel, etc, les partis de « droite » et toutes les prétendues forces de « gauche » qui se font les complices de l’État d’Israël. Dans les pays comme la Bolivie, le Venezuela, l’Argentine ou le Brésil, où les gouvernements se disent “progressistes”, nous exigeons la rupture immédiate des relations diplomatiques avec l’État sioniste et le retrait immédiat des troupes des pays qui participent à la “mission” militaire à Haïti.

Nous faisons partie des nombreuses organisations qui impulsent des manifestations et des actions de rejet du massacre sioniste dans les pays les plus divers. Redoublons d’une ample et combative solidarité internationaliste avec le peuple palestinien !

Le 3 janvier 2009

Fraction Trotskyste — Quatrième Internationale
dont font partie : le PTS (Parti des Travailleurs Socialistes) d’Argentine, la LTS-CC (Ligue des Travailleurs pour le Socialisme — Contre le Courant) du Mexique, la LOR-QI (Ligue Ouvrière Révolutionnaire pour la Quatrième Internationale) de Bolivie, la LTS (Ligue des Travailleurs pour le Socialisme) du Venezuela, la LRS (Ligue de la Révolution Socialiste) du Costa Rica, Classe contre Classe du Chili, la LER-QI (Ligue Stratégie Révolutionnaire) du Brésil, Classe contre Classe de l’État Espagnol, militants de la FT en Europe et, comme section sympathisante de la FT-QI en France, le Groupe CRI (Communiste, Révolutionnaire, Internationaliste).